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NOYAUZERONETWORK.ORG / GENEVA, SWITZ.
Wars. Les mardis de la terreur

VICTIMES. En mai 2012, deux journalistes du New York Times, Jo Becker et Scott Shane, ont affirmé que CHAQUE MARDI, le président Obama présidait une réunion où l’on décidait qui était sur la liste de AL QAIDA et qui pouvait être ÉLIMINÉ physiquement !

Qui sont présents ? Les boss du dispositif antiterroriste américain. On assure que tout est cependant fait pour éviter les dommages collatéraux. C’est ainsi que, selon le général James Jones : « Il est arrivé très souvent que nous suspendions une mission au dernier moment simplement parce qu’il y avait du monde autour de la cible ». Rassurant !

Et pourtant, on n’interrogera pas les femmes et les enfants massacrés par les drones de B. Obama, destinés à tuer un « terroriste », du moins selon les certitudes des « services ». En attendant, on donne des leçons aux Libyens, aux Syriens et aux Européens, sans oublier les Russes et les Chinois, sur la manière d’entendre la DEMOCRATIE sauce USA.

On pourrait croire que la Maison Blanche s’est empressée de démentir cette information ? Nullement.

Le président potiche américain des banquiers internationaux (qui font et défont les élections) a-t-il réellement un permis de tuer légalement… au nom de la guerre au terrorisme ? Quelle est la définition du terroriste ?… car on a pu voir combien, ces dernières années, la définition est devenue extensive… jusqu’à inclure certains journalistes américains qui ne peuvent plus se risquer à prendre l’avion. Ils ont connu certaines intimidations, comme l’arrivée de forces de police à l’improviste à leur domicile pour faire peur aux enfants.

Exemple illustrant la parfaite continuité de pouvoir entre Bush et Obama, ce dernier arrive au Bureau Ovale en janvier 2009, en dénonçant le concept bushien de guerre contre le terrorisme. Aujourd’hui, la preuve n’est plus à faire pour justifier le meurtre ; le caractère dangereux probable suffit.

Vous rappelez-vous du bourrage de crane opéré par les médias lors de l’arrivée de Barack Obama ? Bush et ses tueurs, c’est fini ! nous disaient des Américains. Obama va changer l’image de l’Amérique. Ce pays est le plus détesté au monde par les gens les plus pauvres. En 2012, jamais l’antiaméricanisme n’a été si exacerbé… Merci, Agent spécial B. Obama.

Malheur à ceux qui s’opposeraient à l’Empire et à son César qui n’a rien à faire de la Constitution américaine, protégé par l’Agence des agences qui l’a mis à la Maison Blanche. N’oublions pas que B. Obama a prêté serment devant le public, puis il y eut une autre cérémonie… loin des caméras, dans le sein des saints de l’occulte.

Preuve de la cupidité des médias ? Pour Newsweek (éditiondu 4 juin), « Obama est un homme de conscience, diplômé de droit constitutionnel, ex-président de la Harvard Law Review », blabla. Pauvre Amérique…

En attendant, on compte plus de 600 camps de concentration prêts à l’emploi aux Etats-Unis. Crise ou pas, l’argent de l’Etat fédéral est toujours bien employé pour un avenir radieux du citoyen américain.